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Celle qui a été révélée par le rôle de Fabienne Lepic dans la série comique « Fais pas ci, ne fais pas ça », Valérie Bonneton vient de faire des confidences concernant son rapport avec son apparence physique. En toute transparence, cette célèbre actrice a donné son avis sur la chirurgie esthétique. Est-elle donc séduite par le bistouri ?

“Je n’ai rien axé sur mon physique”

À l’occasion de sa participation dans l’émission À la recherche de la jeunesse disparue, avec Alfred Montesquiou, journaliste et Lauréat du prix Albert-Londres, Valérie Bonneton s’est avérée prête pour tester des nouvelles solutions afin de ralentir les effets du vieillissement. En faisant la promotion de cette émission, la belle actrice en a donc profité pour parler de son rapport avec son apparence physique. « Dès le début de ma carrière, j’ai misé sur le travail et le talent. Je n’ai rien axé sur mon physique, sinon dès l’apparition de ma première ride, j’étais foutue. » Explique-t-elle à son public.

En effet, tout au long de sa carrière d’actrice de cinéma, Valérie a préféré préserver sa beauté naturelle. En parlant de son physique, cette comédienne a fait savoir à sa communauté qu’elle n’a rien contre le fait d’avoir des rides.

Elle a même souligné que ces derniers sont les marques de toute une vie. Interrogée sur ses envies chirurgicales, cette célébrité a révélé qu’elle n’envisage aucun recours à la chirurgie esthétique.

Valérie Bonneton et son combat de maman !

Comme il s’agit d’une célébrité proche de son public, cette dernière ne s’est pas privé de faire des confidences sur la maladie de son fils. En évoquant son combat de maman, Valérie Bonneton a déclaré que la maladie de son fils, à savoir sa leucémie, a bouleversé toute sa famille. « Quand on a un enfant de 4 ans, qui ne peut pas jouer, qui ne peut rien faire. Chaque poignée de porte, il faut la nettoyer – le covid, c’est rien à côté – il faut laver les légumes avec une pointe d’eau de javel. Il faut faire ci, il faut faire ça ». Déclare-t-elle. « Et aujourd’hui mon garçon a 21 ans, il n’a aucun mauvais souvenir. Il adore les gens, parce qu’il y avait tout le temps plein de monde qui venait : les infirmières, les médecins, etc. Il adore les médecins. C’est toujours très émouvant… Et j’avais envie de le raconter ». Ajoute-t-elle.